
Un retard accusé dans l’acheminement d’une quantité de doses de Sputnik V va se répercuter sur l’administration du vaccin chez des citoyens en Guinée.
Le retard dû à des raisons logistiques ne pourra être résolu d’ici la fin de la semaine.
En attendant, l’Agence nationale de sécurité sanitaire a mis en garde contre l’utilisation d’un autre vaccin en lieu et place du Sputnik V pour compléter la prise de la seconde dose du vaccin.
« Les intéressés ne courent aucun risque en prenant leur seconde dose du Sputnik V au-delà des 21 jours prévus, la marge entre l’administration de la première dose et celle de la seconde dose étant de trois mois au plus », a rassuré l’agence.
En Guinée, la campagne de vaccination contre le Covid-19 a été lancée début mars. Au total 91 038 personnes avaient reçu leur première dose à la date du 25 avril alors que 41 302 avaient complété les deux doses.
Mamady Fofana