
Selon le président de la COGUIPRES, Ibrahima Bah, depuis 2010 la sa structure se bat à développer des solutions pour résoudre l’autosuffisance alimentaire en Guinée. Elle évolue dans la confection d’équipements agricoles.
«Il y a de cela 05 ans, qu’on fabrique les machines d’extraction d’huile de palme, parce que cette huile est une denrée utilisée dans toute la Guinée, mais elle a des problèmes.
Puisque son extraction est artisanale, il y a peu de rendement et on perd beaucoup de temps pour l’extraire. C’est pourquoi, on a essayé de fabriquer des machines qui répondent aux différents types de palmerais en Guinée.
Il y a trois (03) types de palmerais en Guinée, les palmerais sauvages, français et ivoiriens».
Selon le conférencier, 1 million 500 mille dollars américains seront investis dans ce programme en Guinée, sur 05 ans.
«Nous allons offrir à la Guinée 60 machines d’extraction d’huile de palme par an, durant 05 ans», a promis Ibrahima Bah.
Pour sa part, le président directeur général du Groupe Farafina, Siba Béavogui, a déclaré : «Nous avons signé un partenariat stratégique avec une institution aux Etats-Unis d’Amérique, il y a de cela deux (02) ans. Il nous a permis d’obtenir 900 compagnies américaines qui vont acheter l’huile de palme guinéenne et ses dérivées. 3.500 femmes en Guinée travaillent déjà avec COGUIPRES et le Groupe Farafina».
AGP