
Le gouvernement guinéen a été informé par Hyperdynamics et la compagnie nigérianne SAPETRO, actionnaires à part égal dans ce projet de forage.
« Le puits a été foré à une profondeur totale de 5 117 m et n’a pas permis d’établir à ce stade la présence d’hydrocarbures dans le réservoir », a déclaré l’ONAP dans son communiqué.
« Les travaux d’études et d’analyse se poursuivront pour une meilleure appréciation des données géologiques », a-t-il ajouté.
Le puits Fatala a été lancé le 8 août dernier. Les deux partenaires dans le projets ont évalué le coût de la campagne à 46 millions de dollars.
Rappelons que le deuxième forage date de février 2012. Sabu-1, c’est son nom, situé non loin du premier puits foré en 1977, avait « fourni les preuves de l’existence évidente d’hydrocarbures dans la zone et encouragé la poursuite les explorations », selon les propos du ministre des Mines d’alors Mohamed Lamine Fofana.
Par Elie Ougna