
Le barrage de Koukoutamba, faut-il le rappeler, a une puissance estimée à 300 MW.
Piloté par l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal, l’infrastructure énergétique nécessitera un investissement prévisionnel de 800 millions USD.
La soumission des dossiers de candidature est arrivée à son terme en septembre dernier.
En cas d’adjudication du projet à SUNIR, cela pourrait sonner comme l’entrée définitive de l’Iran en Guinée après son projet bauxitique à Dabola.
On rappelle que Conakry dispose d’une ligne de crédit de 10 millions de dollars accordée par Téhéran depuis la redynamisation de leurs liens de coopérations il y a un an.