
Et pour le contrôle, les billets sont recomptés avant la destruction. C’est là où les manquants ont été constatés. Vous savez, chaque trieuse met son nom sur le paquet compté. Elles pensaient certainement qu’on allait jamais recompter’’, nous a expliqué une source.
Selon nos sources, la suspension est une première étape d’une procédure qui pourrait aboutir à des poursuites judiciaires. En passant par le remboursement et le licenciement.
La Banque centrale de Guinée est l’une des rares en Afrique à encore utiliser les trieuses. Ailleurs cela se fait par des machines.
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