
Comme expliqué dans nos colonnes, ce résultat a entraîné la colère du public venu en nombre (beaucoup de gens sont restés hors du stade) après deux ans d’interdiction de matches à Conakry en raison du virus Ebola.
C’est dire la pression qui pèse sur les épaules du sélectionneur, dont les choix ont été contestés. Il lui reste deux rencontres à l’extérieur (Malawi, Swaziland) pour redresser la situation. Dans le cas contraire, l’ancien international français devrait faire assez vite ses valises…
Lequipe.fr