
Il ne méritait pas cette mort d’autant que la loi sur la liberté de la presse existe dans notre pays. Il n’est pas interdit à un journaliste de se rendre au siège d’un parti politique.
Il ne le méritait pas cela. Nous continuerons à nous battre jusqu’à ce que nous obtenions justice dans cette affaire. Et qu’on puisse mettre main sur la personne qui a abattu notre confrère.
Propos recueillis à la fin de la marche blanche des journalistes par Elie Ougna