
Dans sa délibération, la Cour a estimé que la requête faite par les candidats n’était pas datée. Bien que ladite requête sollicitait « une prorogation du délai accordé à la CENI pour l’organisation de l’élection présidentielle en vue de permettre à celle-ci de corriger les éventuelles anomalies » liées au processus électoral.
L’institution dit avoir statué en audience ordinaire. Après avoir relevé que les requérants n’ont pas signé la requête, elle a aussi constaté que certaines anomalies sont la conséquence de la mise en application de l’accord politique 20 août.
En conséquence, la Cour constitutionnelle a déclaré « irrecevable » la demande des sept candidats. Avant de « débouter les requérants de toutes leurs prétentions ».