
Sur son compte twitter le gouvernement demande à l’ensemble des parties impliquées dans le processus électoral de mettre un cadre de transparence en place afin d’empêcher toute interférence.
Il prévient toutefois qu’il s’opposera à la mise en place de délégations spéciales de l’opposition dans les communes comme l’avancent présentement certains leaders politiques. « Il est exclu que l’autorité de l’État soit remis en cause par des délégations parallèles », souligne-t-il.
Aussi, les autorités gouvernementales estiment qu’il est hors de question de négocier le chronogramme déjà ficelé par la CENI qui prévoit le scrutin présidentiel avant les locales.
« Seule l’élection présidentielle fait l’objet d’un délai incompressible dans notre Constitution. S’il y a bien une élection que nous ne pouvons pas mettre entre parenthèse, c’est bien la présidentielle. Il n’ est pas question de reporter les présidentielles, il faut analyser tous les éléments et laisser la CENI faire son travail.
Par Mamady Fofana
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