
Selon les informations obtenues par Kaloumpresse.com, les deux parties sont en discussion pour permettre à l’établissement public français à caractère scientifique et technologique de livrer les médicaments.
Inserm réfléchit à la fourniture de deux doses dont chacun pourrait être testé sur une quinzaine de malades d’Ebola.
La Guinée a donné son accord et les véritables discussions ont commencé ce vendredi, nous dit-on. Avant de donner son feu vert, la Guinée a pris soin de demander l’avis de ses partenaires, l’OMS et MSF qui, eux aussi, n’ont pas trouvé d’objection à l’idée.
Nous y reviendrons
Elie Camara