
Le groupe d’avocats qui bénéficie actuellement du soutien de l’Observatoire national de la démocratie et des droits de l’Homme dit avoir écrit au ministre de la Justice et au Procureur général près la Cour d’appel de Conakry en vue d’accélérer la décision de mise en liberté provisoire de Touré et Bangoura, en vain. Décision rendue, selon eux, le 6 août par la Chambre de mise en accusation de la Cour d’Appel de Conakry.
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