
Ceux qui demandaient le départ du préfet Kourouma ont dénoncé » la politisation » à outrance de la préfecture et les faibles efforts fournis dans les programmes de développement locale.
Dans la journée de vendredi les populations acquises à la mouvance présidentielle ont manifesté leur soutien au préfet Kourouma à travers un rassemblement.
Pour leur part, les autorités de la préfecture de Beyla promettent de tout mettre en œuvre d’éviter que la situation ne dégénère à l’avenir, en impliquant les sages de la région dans la gestion des conflits entre autorités et populations locales, à en croire des témoins joints par Xinhua.
Les installations de la société anglo-australienne Rio Tinto avaient été la cible d’attaques durant les manifestations.
XINHUA