
Dimanche, le chef de l’Etat guinéen qui craint que le Sahara ne devienne un deuxième Afghanistan a réitéré cette position à nos confrère de RFI.
« On n’a pas d’autres solutions que de recourir à la force. Nous avons deux étapes. Premièrement il faut libérer Gao pour permettre les élections au Mali. Kidal n’est très important. La dernière phase, c’est la bataille du Sahara qui risque d’être beaucoup plus longue. La libération de Gao et de Tombouctou peut être menée dans le cadre de l’Union Africaine afin de permettre au Mali d’avoir un gouvernement légitimement élu ».
Sidiki Mara
+224 63453095
contact@kaloumpresse.com