
En clair, l’ADP et le Collectif veulent s’adjuger les 10 places de l’opposition au nom du combat mené contre le pouvoir en place. Voilà l’argument.
Mais où mettront-t-ils l’UPG de l’ex-Premier ministre de transition Jean-Marie Doré qui a participé à toutes les consultations électorales en Guinée -à part la présidentielle de 2010-, l’UFD de Baadiko, le PUP (ancien parti au pouvoir) dirigé aujourd’hui par Moussa Solano et aussi le parti Afia de Saliou Bella Diallo, démissionnaire de l’UFDG, pour ne citer que ceux-ci.
Déjà, dans ces formations politiques, on s’active à répliquer au trio Kouyaté-Dalein-Sidya. « C’est une sale blague », a réagi un leader politique, contacté par Mediaguinee. Qui a dit que l’opposition radicale ne regorge -essentiellement- que de partis « cabine téléphonique ».
Mediaguinee