
Les préfets n’ont pas droit de vie ou de mort sur les leaders des partis politiques, sinon demain ils vont empêcher les leaders de prier dans les mosquées ou dans les églises de guinée.
La libre circulation sur tout le territoire de la république n’est pas un simple privilège qu’on peut révoquer à un citoyen, c’est un droit acquis et formulé par l’article 10 de notre constitution. C’est une honte et un recul pour la démocratie dans notre pays.
Je suis encore déçu de la gouvernance de monsieur Alpha Condé qui revendique 40 ans de combat politique ».
Dr Fodé Oussou depuis Dakar.