
Hassan Sanoussy Camara dit avoir ordonné ce démantèlement de ce groupe de « donzos », car ceux-ci s’adonnaient parfois à des tirs d’armes à feu durant les nuits, provoquant la psychose chez la couche féminine surtout.
Ces chasseurs traditionnels étaient venus selon lui de toutes les régions de la Guinée, pour occuper une forêt aménagée dans cette ville de près de 200 mille habitants du sud de la Guinée.
Ils avaient reçu une autorisation de la direction régionale de l’environnement pour s’installer à N’Zérékoré dans le cadre d’un partenariat destiné à la « protection des forêts ».
Il conviendrait de rappeler que la présence des donzos était également remarquée jusqu’à une date récente dans la capitale guinéenne, où ils avaient été accusés par certains opposants de » terroriser » leurs militants. Accusation que leur porte-parole avait catégoriquement réfutée.
Xinhua