
Selon le ministre Bamba Camara pour l’instant muni d’arguments peu convaincants, le processus est bien avancé et la Guinée peut se permettre d’enseigner ses langues nationales à ses enfants à compter de l’année scolaire 2011-2012.
Pour atteindre ce but, le ministre de l’Alphabétisation et de la Promotion des langues nationales préconise l’utilisation des alphabets latin, arabe et N’Ko.
Seulement, il y a problème. L’idée rencontre de farouches opposants dans le secteur éducatif. Beaucoup d’acteurs pensent que le moment n’est pas propice à cette nouvelle donne et que le ministre-syndicaliste a manqué suffisamment de temps pour approfondir son analyse.
Fatoumata Kéita
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